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LIBERTE

LES PEREGRINATIONS ABSURDES DE GUY-JOSE KOSSA OU LA LOPETTE D'UN CLOCHARD ATTEINT DE CLEPTOMANIE

27 Juillet 2019, 23:22pm

Publié par Jackson Féréol

En règle générale et fort malheureusement, trop d’êtres humains naissent, vivent et meurent sans savoir pourquoi ils sont nés, pourquoi ils ont vécu et pourquoi ils meurent. Leur vie, bien souvent hélas, se déroule comme le rêve de la vie d’un autre, le rêve d’une autre vie, celle qu’ils auraient aimé vivre, tellement ils détestent celle qu’ils vivent. Vivre sa vie à côté de sa vie, comme un mort-vivant, traverser la durée terrestre à côté de ses pompes, de la plaque, dans une succession de ratés qui signent une guigne et une malchance innommables, n’est-ce pas hélas le sort de zombie que le destin a réservé au romancier par excellence de la haine qu’est Guy-José Kossa ?

Il y a décidément trop de gens que le succès de la Centrafrique avec Touadera rend fous. Comment justifier encore leur capricieux et insignifiant exil? Devant l’embellie économique, politique, diplomatique et culturelle que le pays connaît sous le magistère du Président Faustin Archange Touadera, ils en perdent leur latin et à défaut de pouvoir renverser la démocratie centrafricaine par les armes,  le web leur offre la dernière lucarne de tir contre l’esprit de la république inclusive, cosmopolitique, adopté par Touadera en émergence. En effet, à lire le dernier article de Guy-Jossé Kossa sur les réseaux sociaux on ne peut manquer de prendre cette hauteur de perspective pour comprendre l’empire que les ténèbres exercent sur l’âme de ce dernier, tellement son esprit est éloigné de la saine appréciation des réalités!

Puisque Guy-Jossé Kossa se trouve aveuglé par ses diatribes Sani Yalo, nous espérons ainsi l’aider à émerger de la prison de haine qui l’enserre, afin qu’il se comprenne un peu mieux lui-même et change son fusil d’épaule avant qu’il ne se retourne définitivement contre lui-même. Qui d’entre nous ne sait pas que le sulfureux Guy-José Kossa fut d’abord employé à la SOCATRAF avant de prendre la poudre d’escampette suite aux nombreux cas de détournements dont il est l’auteur comme tout bon agent véreux et recherché.

Au Mali, il excelle comme un mafieux patenté et connu de tous les étudiants centrafricains qui croyaient avoir un parrain. A bien des égards, Guy-José Kossa ce flibustier à l’équilibre mental sujet à caution est le prototype de la mafia centrafricaine. Après des années de traversée de désert au Mali, ce pickpocket sera parachuté et recruté par une autre vermine en la personne de Meckassoua, fauteur de trouble de tout le temps et cadeauté pour vouer aux gémonies Sani Yalo.

Loin de nous l’idée de faire une analyse des articles de Guy-José Kossa, il faudrait se faire une image de la tronche de l’homme. Sa morphologie nous apprend beaucoup de sa manière de vivre, de penser, de parler, d’être. Toutes les photos de l’homme nous le montrent ivrogne, la moue toujours négative, les joues renfrognées, la bouche pâteuse et disposée à distiller insultes, rodomontades et effets de manche superflus. L’homme a toujours la tête du fonce-bête, prêt à dire n’importe quoi pour exister dans le pire des chahuts, prêt à exploiter tous les tohu-bohus pour rebondir aux devants d’une scène politique centrafricaine qui l’aura condamné toute sa vie durant, à n’être qu’une roue de secours d’arrière-cour. Le corps expressif de Guy-José Kossa laisse à voir par son avachissement, et par le poids des joues remplies de morgue sur les mâchoires, une vie profondément déçue. C’est un corps sombre, assombri et assombrissant. De telle sorte qu’on devrait lui prescrire des exercices de stimulation homéopathique du corps, afin que de nouveau, la vérité, la joie et la lumière du Verbe Incréé le traversent. On peut donc imaginer que l’âme logée dans ce corps est torturée par ses contradictions, volatile, tyrannique, complètement décentrée par la volonté d’être ce qu’elle n’est pas. La dégaine physique de l’homme, où la taille haute n’est que symbole de l’ampleur de la bêtise, trahit une âme de forcené de la gloire, de jaloux chronique, de prétentieux sans bornes. Le grand Guy-José Kossa est en réalité un bébé attardé, sans cesse requérant Père Noël et bonbons à l’encan. D’où la petitesse d’esprit qui fait la marque déposée de l’homme et qui s’exprime notamment par sa plus grande obsession: fabriquer un monde artificiel qui lui plaît et s’y complaire, en fuyant maladroitement le monde réel qui lui déplaît. Il s’ensuit des conséquences évidentes dans tous les écrits de l’homme. Freud les avait décrites sous l’expression de « régression-fixation aux stades infantiles. »

A lire les articles de Guy-José Kossa, on ne manque pas d’être frappé par les ténèbres qu’il répand. Toutes ses publications sont soumises au principe de l’égo-référence, c’est-à-dire qu’elles sont présentées au public avec l’unique injonction d’y croire parce que c’est l’immense Guy-José Kossa qui le dit. Urbi et orbi, comme le mythique Narcisse se noyant dans le lac après avoir succombé au charme de son propre reflet, Guy-José Kossa s’enfonce dans l’aveuglement par le Moi. A quel contexte historique, géographique, sociopolitique se réfèrent les propos de Guy-José Kossa ? Vérifiez bien: le contexte est toujours celui que Guy-José Kossa seul a vécu, dont lui seul témoigne, dont il est l’acteur principal et dont il est le destinataire absolu. L’égo-référence, c’est la prison logique des êtres profondément narcissiques, qui croient tout naturellement que ce qu’ils disent est vrai…parce qu’ils le disent.   Embourbés en eux-mêmes, putréfiés et pétrifiés d’ego, ils en étouffent de délires.

Au demeurant, que veut au fond Guy-José Kossa? Pour s’agiter autant, il doit bien avoir des motifs profonds et inavoués. Nos hypothèses les plus plausibles sont, soit Guy-José Kossa  veut sans doute justifier par ses diatribes mythomaniaques, un exil capricieux et autoproclamé,  mais en réalité sans valeur ni portée politique réelles. Pour bénéficier de la magnanimité de ses protecteurs (Meckassoua et consort), mais aussi justifier des financements occultes que ces derniers lui versent en exil, il doit mouiller le maillot, notre aigri. Guy-José Kossa, en réalité, est une composante de la partie visible des prochains projets de déstabilisation militaire de la Centrafrique auxquels les nostalgiques du pouvoir déchu n’ont jamais renoncés.  Guy-José Kossa,  par ses pseudo-révélations incontrôlables et incontrôlées, où l’imagination déborde même l’infini des étoiles du ciel, croit pouvoir contribuer à diviser psychologiquement la population centrafricaine, afin de tirer profit des dissensions espérées pour revenir en selle avec Meckassoua au cœur du jeu politique centrafricain. Nous sommes donc ici face à un agent de propagande du front des ennemis du peuple centrafricain en exil. Il faut dès lors, au prisme de ses trois motivations probables, le considérer et le traiter comme tel…

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