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LIBERTE

15 MILLIONS DE DOLLARS DANS LA CAGNOTTE DU GOUVERNEMENT TOUADERA EN FAVEUR DU SECTEUR DE LA SANTE

25 Octobre 2019, 16:25pm

Publié par JFK

L’accession du professeur Faustin Archange Toudéra à la magistrature suprême de l’Etat en mars 2016 a ouvert la voie à une nouvelle génération d’hommes politiques ayant un sens élevé du patriotisme sans commune mesure. Ceux-ci prennent à bras-le-corps la mission que le Chef de l’Etat a bien voulue leur confier et en l’accomplissant comme un sacerdoce. Depuis leur entrée au gouvernement au lendemain de l’accession de Touadera à la magistrature suprême de l’Etat, ils sont devenus les maillons forts du pouvoir de Bangui. Cependant, cette posture ne va pas sans conséquence.

Pour preuve, lors de la mission des ministres Henri-Marie Dondra et Félix Moloua, respectivement des Finances et de l’Economie à Washington, pour une série de conférences et de discussions bilatérales, la République Centrafricaine a bénéficié d’une enveloppe de  15 millions de dollars U.S suite à la signature d’une convention avec les institutions de Bretton Woods. Il s’agit des fonds qui permettront au gouvernement centrafricain sous la haute clairvoyance du Président de la République Faustin Archange Touadera de pouvoir satisfaire aux mesures d’urgence en cas de pandémies, tels que, Ebola, Choléra etc.

Une bouffée d’oxygène pour la population centrafricaine exposée aux risques des maladies mortelles. Comme dit-on, mieux vaut prévenir que guérir. Cette convention, faut-il le savoir, démontre la volonté du gouvernement de mettre à profit toutes les occasions pour garantir la santé des Centrafricains contre d’éventuelles épidémies. Cette prouesse combien capitale est à mettre à l’actif des ministres Dondra et Moloua perçus comme des maillons forts du gouvernement Ngrébada.

Il n’est pas anodin de rappeler que si la République Centrafricaine sort peu à peu de l’ornière après les crises militaro-politiques, c’est en grande partie grâce aux efforts consentis par les autorités dirigeantes qui ne lésinent pas sur les moyens pour mener des actions allant dans le sens du relèvement.

En témoigne les nombreuses réformes entreprises par le ministre des Finances et du budget, Henri-Marie Dondra et celui de l’économie Felix Moloua. Il est un secret de polichinelle que le ministre Dondra a toujours été un homme de grands défis qui a toujours su faire montre de don de soit.

Dès son entrée au gouvernement le ministre Dondra avait le challenge de montrer aux institutions internationales que la RCA est un bon élève de la bonne gouvernance.  La croissance économique de plus de 4% alors qu’en 2013 le pays était à – 36%, est dû à la rigueur d’un homme efficace et travailleur, qui fait la fierté du Président Touadera. Contre vents et marées, ce quadragénaire, ancien Directeur Général, a maintenu le cap de l`orthodoxie financière imposée par le FMI et la Banque mondiale.

Il est aujourd’hui reconnu comme le principal artisan du maintien de l’économie centrafricaine pour avoir réussi à maintenir le niveau de vie, assurer le paiement des fonctionnaires, de la dette nationale et rassusser les bailleurs de fonds.

A titre de rappel, en 2013, l’économie de la République Centrafricaine s’était complètement effondrée et se trouvait à -36% de son PIB. Après la formation du gouvernement Sarandji, monsieur Dondra, s’est vu confié le portefeuille des Finances et du budget. Son dynamisme et son savoir-faire dans le domaine macroéconomique a amené le PIB à 4,34% (fin 2018).

Ce Centrafricain s’est mis au travail avec détermination et abnégation pour assainir les finances publiques, rassurer les partenaires financiers de la RCA, et mobiliser les recettes intérieures et extérieures afin de faire face aux dépenses de souveraineté de l’Etat.

Dans cette optique, la Centrafrique s’est mise en programme avec le FMI, ce qui lui a permis de résister aux vents violents qui a secoué l’économie de l’Afrique centrale. Aujourd’hui, la croissance économique de la RCA qui était de 4% en 2018 a évolué à 4,7% en 2019 faisant de ce pays  l’un des meilleurs élèves du FMI. Nul n’ignore qu’elle est  citée comme un modèle dans la sous-région en matière de la gestion des finances publiques et de l’économie.

Sous l’impulsion du président Touadera, et grâce à une gestion efficace et efficiente de la trésorerie, les salaires sont payés à terme échu, les bourses ainsi que les pensions ne souffrent d’aucun retard. Les arriérés de salaires des régimes défunts tombés dans l’oubliette sont en trains d’être progressivement apurés. Les dettes commerciales sont apurées relançant du coup certaines entreprises se trouvant dans une situation de faillite.

Le dernier rapport de la banque centrale et celui du comité monétaire financier national permet de dire que les banques centrafricaines sont en sur-liquidités. Tous les partenaires financiers de la RCA dont le FMI, la Banque Mondiale, la BAD et l’Union Européenne sont satisfaits de la gestion des finances publiques et font désormais confiance au régime du président Touadéra.

Notons que la signature de cette convention est intervenue en marge des discussions bilatérales tenues à Washington la semaine dernière. Il faut rappeler que la RCA a déjà bouclé un programme comprenant six revues avec cette institution. Les résultats obtenus dans le cadre ce programme méritent d’être pérennisés. C’est dans ce cadre que le gouvernement que dirige le Premier Firmin Ngébada sous la très haute impulsion du Président de la République, Chef de l’Etat Professeur Faustin Archange Touadéra était en négociation avec les partenaires en vue d’obtenir un autre programme peut être plus ambitieux que le précédent. Chapeau aux ministres Dondra et Moloua qui mené avec dextérité ces discussions.

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