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LIBERTE

L’AFFAIRE DES 322 MILLIONS ALLOUES AUX KITS DE DÉPUTÉS : UNE CABALE MEDIATIQUE EHONTEE CONTRE LE MINISTRE HENRI-MARIE DONDRA

29 Août 2019, 13:43pm

Publié par Jackson FK

Le rapport de la cour des comptes, rendu public depuis quelques semaines continue de susciter des réactions dans le microcosme politique centrafricain au sujet du dossier relatif aux kits de députés de la 6ème législature.

Comme une boule puante, la conclusion de ce premier rapport a requinqué certaines personnalités politiques mises en cause et qui n’ont pas tardé à réagir au lendemain de sa publication. Ce qui a conduit aux diatribes des leaders politiques. C’est le cas de l’ancien Président du Conseil National de la Transition Alexandre Ferdinand Nguendet et autres.

Le moins, que l’on puisse dire au sujet de ce rapport est que, contrairement aux spéculations des uns et des autres, la procédure n’a pas encore abouti et ne permet pas en ce moment de blanchir ni d’incriminer une personne  comme avait indiqué le Procureur général près la Cour des Comptes, Nestor Sylvain Emmanuel Sanzé.

Malheureusement, dans l’une de ses publications du 28 aout 2019, RJDH a brillé par un titre pompeux et nauséeux à travers des allégations fantasmagoriques et chimériques à l'encontre du ministre des finances et du budget, Henri-Marie Dondra, sous le titre de : « La responsabilité du ministre des finances citée dans l’affaire des 322 millions alloués aux kits de députés ». L’auteur de cet article truffé de contre-vérités, visiblement procureur autoproclamé pullule l'espace médiatique avec un brouillon digne d’un fait divers, dépourvu de réalité.

Pour preuve, l’agent comptable central du trésor public à l’époque n’était pas Marcel Chérubin Yérada, comme il a insinué mais, plutôt le Béninois Remy KOSSOUHO reconnu pour sa rigueur.

Dire que la responsabilité du ministre des finances est engagée, dans le processus de paiement des factures est totalement faux. Il y a lieu de savoir qu’au nom du principe de la séparation des pouvoirs, rien n’incrimine le ministre des finances et du budget. Les appels de fonds sont faits par l'Assemblée Nationale sur son budget. Ces appels de fonds sont faits par le Président de l'Assemblée Nationale ou celui qui assure son intérim. Le ministre des finances ne participe pas aux commandes des kits de l'Assemblée. Seule l'Assemblée Nationale fait ses appels de fonds pour faire face à ses charges.

Et quand il y a appel de fonds, le ministre des finances donne juste des annotations quitte à l’agent comptable central du trésor public de l’apprécier. Ce dernier est tenu à la vigilance dans les vérifications comptables préalables à la dépense. Ainsi donc, la responsabilité du ministre n’est pas du tout engagée en cas d’une quelconque erreur de la part de l’Agent comptable central du trésor public.

Il va sans dire que le fait de mettre en cause le ministre Dondra révèle une volonté journalistique de nuire. D’ailleurs, ce n’est pas surprenant puisque depuis un certain temps une certaine presse « gombotique » a entrepris une cabale médiatique contre le très pragmatique et rigoureux Henri-Marie Dondra, ministre des finances et du budget. Il s'agit là des démarches de l'opposition pour salir un ministre.

Une croisade anti-Dondra où l’on remarque aussi des journaleux avec leurs ramassis de textes caviardés. Bénéficiant gracieusement de finances occultes, ces pisse-copies avec leurs nombreux chiens écrasés composent avec certains apprentis sorciers, la paire parfaite pour bidonner au jour le jour des réflexions dans le but de salir l’image du ministre Henri-Marie Dondra.

Ça ne serait pas prétentieux d’avancer, que le nom Henri-Marie Dondra est celui qui revient le plus dans les conversations. C’est une évidence consécutive aux nobles actions concrètes dont l’homme se fait le dépositaire. Ce n'est pas étonnant dans un pays où être rigoureux dans la gestion des finances publiques et entreprendre des réformes sont perçus comme des péchés par des forces tapies dans l'ombre et des hommes des lobbies, qui instrumentalisent une certaine presse « gombotique ».

 

 

 

 

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